Les grandes villes japonaises comme Tokyo s’étalent, il est vrai, sur des surfaces bien plus grandes que Paris. Cependant il serait réducteur de penser qu’elles sont inhumaines ou hostiles.
“Captivé par le charme de Tokyo, une rue à la fois.”
Il sera indispensable pour se rendre d’un quartier à l’autre, d’utiliser les transports en commun. Il y a 2 réseaux de trains : les métros et les trains exploités eux par l’opérateur national « Japan Railway ». Par contre les locaux n’hésitent pas a enfourcher leur vélo pour rejoindre la gare. Contrairement à Paris, les vélos sont largement tolérés sur les trottoirs ici.
« Une rue à la fois » ça veut dire qu’on peut découvrir une petite boutique de plantes et de bonsai qui ressemble à une maison, en plein cœur de Ginza.
C’est aussi le charme de regarder, par la fenêtre du train, quand on arrive a Ichigaya, quelques aficionados venus pêcher, assis sur des caissettes le longs des pontons.
Et si vous vous aventurez à l’écart des grands axes de la ville, vous trouverez des quartiers résidentiels bien plus calmes, des zones avec parfois pas un seul immeuble de grande hauteur. Ainsi les pavillons ou les petits immeubles se succèdent dans des rues très silencieuses, et sans trottoir. Parfois le porche de certaines d’entre elles vous fera penser à un temple tant le jardin qui l’entoure est soigné, mélangeant les pins japonais et lanternes en pierre. Chihiro doit être cachée quelque part…
Tokyo n’est pas une ville (comme les autres)
Les grandes villes japonaises comme Tokyo s’étalent, il est vrai, sur des surfaces bien plus grandes que Paris. Cependant il serait réducteur de penser qu’elles sont inhumaines ou hostiles.
Il sera indispensable pour se rendre d’un quartier à l’autre, d’utiliser les transports en commun. Il y a 2 réseaux de trains : les métros et les trains exploités eux par l’opérateur national « Japan Railway ». Par contre les locaux n’hésitent pas a enfourcher leur vélo pour rejoindre la gare. Contrairement à Paris, les vélos sont largement tolérés sur les trottoirs ici.
« Une rue à la fois » ça veut dire qu’on peut découvrir une petite boutique de plantes et de bonsai qui ressemble à une maison, en plein cœur de Ginza.
C’est aussi le charme de regarder, par la fenêtre du train, quand on arrive a Ichigaya, quelques aficionados venus pêcher, assis sur des caissettes le longs des pontons.
Et si vous vous aventurez à l’écart des grands axes de la ville, vous trouverez des quartiers résidentiels bien plus calmes, des zones avec parfois pas un seul immeuble de grande hauteur. Ainsi les pavillons ou les petits immeubles se succèdent dans des rues très silencieuses, et sans trottoir. Parfois le porche de certaines d’entre elles vous fera penser à un temple tant le jardin qui l’entoure est soigné, mélangeant les pins japonais et lanternes en pierre. Chihiro doit être cachée quelque part…